Ce matin, nous partons pour Vannes, que nous traversons. En arrivant au centre-ville, Roger soupire d'aise. C'est plus joli ici, dit-il, c'est plus vieux. Nous flânons. Sur le quai Éric Taberly. Devant la tour Trompette (XIVe siècle). dans la venelle de la tour Trompette, nous croisons deux hommes au moment où Roger, parlant au téléphone à Françoise dit, Vannes, c'est bien, mais il y a trop de touristes. L'un des hommes sourit, l'autre se met franchement à rire avec bonne humeur en me regardant. Pas lui, hein, dit-il. Tout le monde rit.
Quai Éric Tabarly
Quai Éric Tabarly
Ensuite le long de la rue Francis-Decker. Nous entrons dans le quartier médiéval par la Porte Prison. Promenade qui longe la cathédrale Saint-Pierre-de-Vannes pour arriver à la place Henri IV.
Rue Saint-Salomon, rue des Halles. L’édifice de la Cohue, d'un vieux mot français désignant des halles, une vieille construction des XIIIe, XIVe et XVe siècles. On y a installé le musée des Beaux-Arts et le musée d'Archéologie. On y présente une exposition de Jacques Brown.
Et la pluie. Abondante. Elle nous fait rentrer.
J'ai pris la photo de façon à montrer les piments sous les laitues pour vous permettre de jauger la grosseur des laitues.
Et l'affichage ! J'ai l'intention de consacrer un billet à simplement présenter des affiches et des enseignes. Pour leur ressemblance avec ce que nous voyons chez nous, ou alors leur différence. Ou pour l'élégance la tournure. Ou pour le franglais, différent du nôtre.
Dans notre caddie, alias chariot, il y a, notamment, un lapin en morceaux, des éclairs, des carottes, des champignons… Ce soir, Françoise nous prépare un civet de lapin de sa façon. Elle enfarine les morceaux de lapin, les fait rissoler avec de l'oignon et des champignons, ajoute patates et carottes, du persil du jardin, arrose généreusement du mousseux d'hier, couvre et hop… le souper est fait. Reste à l'attendre puis le manger.
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